Parce qu’à force de prolifération, les images ont aujourd’hui perdu de leur aspérité, devenues aussi lisses que l’espace virtuel de leur diffusion, Léo Dorfner en propose une lecture punk qui dérange les interprétations trop chastes. Sa réappropriation des représentations médiatiques, des icônes publicitaires, des bribes du quotidien et des memes visuels dessine une mythologie rock du contemporain aussi incrédule qu’indisciplinée.
- Florian Gaité
Photo : © Léo Dorfner
courtesy Galerie Claire Gastaud